L’espoir demeure pour le sou des écoles, mais des renforts sont encore attendus

Les membres du bureau veulent réussir cette année de transition.

Quelques parents ont répondu à l’appel du sou des écoles qui a tenu son Assemblée Générale, jeudi soir à la salle polyvalente d’Ozan.
En présence des enseignants et des élus, le président et la trésorière ont dressé le bilan d’une année scolaire qui restera bien morose pour l’association qui œuvre pour le bien des enfants des écoles du RPI.
En raison des restrictions sanitaires, de nombreuses manifestations n’ont pu être organisées. On notera l’annulation des plus grosses recettes perçues par le loto, la fête du vélo et la brocante. Il en ressort un déficit sur l’année de 4 500 €. Grâce à une trésorerie saine, le sou a néanmoins permis de proposer de nombreuses activités durant la dernière année scolaire. Il a été aussi décidé de maintenir la même participation à chaque école, soit 1 500 € par classe.

Sont prévus : Des spectacles, des interventions extérieures en musique et en art plastique, l’achat de vélos pour les maternelles, du cinéma et des voyages scolaires.

Le souci majeur du bureau en place est d’assurer un passage de témoin, car de nombreux membres cesseront leurs fonctions en cette fin d’année scolaire. Il s’agit donc de prévoir une transition en douceur avec de nouveaux parents.
À ce jour, 3 parents sur les 115 familles que compte le RPI ont proposé leurs services. Les membres du bureau se donnent encore quelques jours pour permettre à d’autres familles de réfléchir à un éventuel engagement.

Ces quelques engagements montrent que l’intérêt pour le sou des écoles n’est pas mort. Ils sont porteurs d’espoir pour sauver une association dont l’utilité est primordiale pour l’école publique.